Tu me hantes. Je n’ai grand chose à faire d’autre que de faire tourner les heures et suis sans goût, à me demander pourquoi vivre. À te pleurer. Je me suis creusé un néant. Un néant d’attendre. Un néant d’espoir. Mais c’est le silence. Et je n’espère plus. Et pourtant j’espère. <br />
Si je me sens penser à toi, je bloque ma tête pour qu’elle se vide. Je ne pense plus à toi. Sauf parfois, et je pleure. Mais maintenant, quand je pleure, c’est du néant qui demeure : je ne veux plus vivre, je n’ai plus de goût. <br />
Je me demande comment tu vas.
Peindre est un lieu étanche
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